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Tranfusion sanguine : Oui, mais sous conditions et avec précautions

Dernière mise à jour : 11 nov.


Labas rytas sauvé(e)! Bonjour guérison! DIEU veille sur toi. Demeure dans la vérité, la foi et l'amour.



  1. Ce que dit la Bible : aimer son prochain, donner sa vie et ne pas manger du sang

  2. Ce que dit la science : biennfaits, dangers et alternatives

  3. Ce que je pense : oui, mais sous conditions et avec précautions




(Matthieu 22: 37-40 Segond 21) : " JESUS lui répondit: «Tu aimeras le SEIGNEUR, ton DIEU, de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta pensée. 38 C'est le premier commandement et le plus grand. 39 Et voici le deuxième, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 40 De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.»


❖ (Jean 15:12-13, Segond 21) : " Voici mon commandement: aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Il n'y a pas de plus grand amour que de donner votre vie pour vos amis."


( Lévitique 17: 10-14, Segond 21) : " 10 »Si un Israélite ou un étranger en séjour parmi eux mange du sang, je me tournerai contre celui qui mange le sang et je l'exclurai du milieu de son peuple. 11 En effet, la vie d'un être est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel afin qu'il serve d'expiation pour vos âmes, car c'est par la vie que le sang fait l'expiation. 12 C'est pourquoi j'ai dit aux Israélites: 'Aucun de vous ne mangera du sang, même l'étranger en séjour parmi vous ne mangera pas de sang.' 13 Si un Israélite ou un étranger en séjour parmi eux prend à la chasse un animal ou un oiseau qui se mange, il en versera le sang et le couvrira de poussière. 14 En effet, la vie de tout être, c'est son sang, qui est en lui. C'est pourquoi j'ai dit aux Israélites: 'Vous ne mangerez le sang d'aucune créature, car la vie de tout être, c'est son sang. Celui qui en mangera sera exclu.'"



  1. Ce que dit la Bible : aimer son prochain, donner sa vie et ne pas manger du sang


Les deux plus grands commandements de la Bible, sont aimer DIEU et aimer son prochain comme soi-même (matthieu 22:37-40). Aimer son prochain comme soi-même c'est : le traiter dignement, le respecter et lui vouloir du bien comme à soi-même. Ceci implique être disposé à lui faire du bien et le faire dans la mesure de son possible. Aimer ton prochain plus que toi-même te rendra dépendant de son opinion. L'aimer moins que toi-même t'amènera à le mépriser et à lui causer volontairement du tort.


Aimer son prochain est une preuve que nous nous aimons et que nous aimons DIEU. Celui qui aime véritablement, aime DIEU, s'aime soi-même et aime son prochain. On ne peut donner que ce qu'on a. L'amour a sa source et son aboutissement en DIEU. Car DIEU est Amour et Vérité dès le commencement, et pour l'éternité. Il est le premier à aimer. Recevoir son amour, nous amène à nous aimer nous-même, et nous capable d'aimer notre prochain. Nous réalisons que comme nous, il(elle) est une créature merveilleuse créée par DIEU.


JÉSUS nous demande de nous aimer comme il nous a aimés (Jean 15:13). Il dit qu'il n'ya pas de plus grand amour que de donner sa vie pour les autres (Jean 15:13). Il nous demande faire comme lui, par amour et dans la mesure de nos capacités. Donner sa vie, c'est donner de soi. C'est consacrer une part de sa vie à autre chose que soi. C'est risquer sa vie pour les autres.


DIEU nous dit que la vie est dans le sang (Lévitique 17:11). La vie est spirituelle avant d'être physique (Genèse 1:27-30, Job32:8, Jean 3:3-7, Jean 1:12-13, Ephésiens 2:1). Nous sommes des esprits vivants dans des corps physiques (confère la série Esprit et Âme). La nouvelle naissance est sprituelle et non physique (Jean 3:3-5, 1 Corinthiens 15:45). DIEU a créé les esprits d'Adam et Eve avant de former leurs corps (Genèse 1:26-27, Genèse 2:7, Esprit et Âme : le commencement).


JÉSUS est le parfait exemple. Il existait déjà avant que le SAINT-ESPRIT lui a forme un corps physique (confère l'article JÉSUS-CHRIST : éternel, ange de l'ÉTERNEL et DIEU l'ÉTERNEL). Il était déjà le fils de DIEU. Il a donné sa vie, son sang, pour nous. Depuis plus de 2000 ans, son sang parle (Jean 1:7-9, Hébreux 12:24, Hébreux 9:14, Hébreux 10:22). Il est ressuscité. Son sang n'a été versé qu'une seule fois mais, il parle en notre faveur éternellement. Spirituellement et physiquement, il n'y a pas de vie au delà de celle de JÉSUS (Colossiens 2:9-10, Philippiens 2:9, Ephésiens 1:20-21, Hébreux 12:24, ). Il est l'aboutissement de l'amour, de la vérité et de la justice.


La vie étant spirituelle et physique, recevoir le sang d'une personne, c'est recevoir une partie de sa vie. Soit on reçoit une partie de sa vie physique, soit on reçoit une partie de sa vie spirituelle, soit on reçoit une partie des deux. Il est donc possible de s'exposer à une bénédiction ou à une malédiction si on reçoit une transfusion sanguine. Ce n'est pas une question d'opinion. Soit on lit sa Bible, soit on ne la lit pas.


DIEU nous interdit de manger (consommer) le sang (Lévitique 17: 10-14, Genèse 9:4, Deutéronome 12:23-25, Actes 15:20). Il le dit dans l'ancien et le nouveau testament. Il est interdit de faire du sang un aliment. Il précise bien le sang d'aucune créature. Consommer du sang c'est déshonorer DIEU, désobéir à DIEU et s'exposer à des dangers (malédictions et maladies).


Il est bien écrit manger et non donner. Nulle part dans la Bible, il est interdit de donner son sang pour sauver autrui. C'est plutôt le contraire. Nous sommes appelés à nous donner pour les autres. Nous sommes appelés à nous inspirer de JÉSUS. Donner son sang pour sauver est une preuve d'amour. Celui qui donne son sang offre une partie de sa vie pour sauver son prochain. C'est une manière d'obéir au deuxième plus grand commandement (Matthieu 22: 37-40, Jean 15:12-13). Nous sommes tous d'accord qu'un soldat qui défend son pays, un pompier qui éteint des incendies, qui sauve des vies, un policier qui reçoit une balle en cours de service, donne sa vie pour autrui. Qu'il vive ou qu'il meurt en cours de service, nous reconnaissons qu'il donne ou a donné sa vie pour les autres. En ce qui me concere, il en est de même pour ceux qui donne leur sang.


  1. Ce que dit la science : biennfaits, dangers et alternatives



La transfusion sanguine est un traitement médical consistant à injecter par perfusion intraveineuse du sang, l'un de ses composants et/ou des dérivés sanguins. Notamment les globules rouges, les plaquettes et le plasma. Le sang est composé du plasma et des cellules sanguines.


Le plasma est le liquide contenant les cellules sanguines et les facteurs de coagulation. Ses rôles sont :

  • le transport de ses éléments vers tous les tissus de l’organisme,

  • le maintien de la pression artérielle,

  • la régularisation de la teneur en eau des tissus.


Le transfert du plama est parfois nécessaire pour :

  • Des personnes en réanimation soignées par restauration du volume sanguin.

  • Des personnes hémophiles (dont le sang ne coagule pas), atteintes de déficits immunitaires, ou de certaines maladies auto-immunes. 

  • Des personnes personnes atteintes de troubles de saignement, de certains de cancer ou de certaines maladies du foie.


Les cellules sanguines sont fabriquées par la moelle osseuse. Ce sont :

  • les globules rouges ou hématies, contenant l'hémoglobine qui sert au transport de l’oxygène ;

  • les globules blancs ou leucocytes, qui défendent le corps contre les infections ;

  • les plaquettes, qui participent à la coagulation du sang en cas de saignement. 


Le transfert des globules rouges est nécessaire en cas d'anémie sévère mal supportée par l'organisme. Sans transfusion, le patient peut mourrir ou avoir des conséquences graves (lésions cérébrales irréversibles, infarctus, etc.).


L'anémie est une dimunion du taux de globules rouges (aux d’hémoglobine inférieur aux valeus normales). Soit la moelle osseuse n'en produit pas assez, soit elles sont détruites dans l'organisme, soit elles sont perdues à cause d'une perte de sang (exemple hémoragie, accident, opération, etc). L’anémie par carence en fer est liée à un manque ou une mauvaise utilisation du fer par l’organisme. La carence en fer provoque une diminution de la fabrication de l'hémoglobine au niveau de la moelle osseuse.


Le transfert des plaquettes est nécessaire en cas de thrombopénie (diminution anormale du nombre de plaquettes). La thrombopénie peut être constatée ou anticipée. Soit :

  • La moelle osseuse n'en produit plus ou pas assez (exemples : cancer, chimiothérapie).

  • Une maladie détruit ou affecte les plaquettes après leur fabrication, lorsqu'elles sont en circulation dans le sang (exemples : virus du VIH, hépatite B).


Les transfusions comportent des risques, surtout pour le receveur : réactions allergiques, infections bactériennes et virales, fièvre et frissons, transfusion d’un volume de sang trop important, groupes sangins incompatibles.


Le sang du donneur est analisé avec d'être collecté et transfusé. Mais, le risque zéro n'existe pas. Deplus, tous les pays, ne sont pas à la même échelle. Tous les hôpitaux non plus. Il y a des pays où les transfusions sanguines ont fait des ravages. Des gens ont reçu des transfusions sanguines de sang porteur du virus du VIH. Dans les pays où les transfusions sont autorisées, les médecins doivent obtenir le consentement du patient (parents ou personnes désignées par le patient), avant la tranfusion.


Tout le monde ne peut pas être donneur de sang. Un receveur ne peut pas recevoir du sang de tout donneur. Il faut respecter plusieurs critères. D'un point de vu médical, la transfusion sanguine est un traitement. Ce n'est pas une prescription que les médécins font pour ceux qui ne veulent pas avaler des comprimés amers.


À ce jour, l'alternative à la transfusion sanguine est la perfusion de fer, souvent complétée par l'injection d'une hormone pour stimuler les cellules de la moelle osseuse qui produisent les globules rouges. Une alternative préventive est de consommer des compléments en fer. Ces alternatives ne sont malheureusement pas suffisantes, possibles et accessibles dans tous les cas.



  1. Ce que je pense : oui, mais sous conditions et avec précautions



Chacun est libre de décider de donner ou recevoir une transfusion sanguine selon sa compréhension, ses convictions et une recommandation spécifique qu'il reçoit du SEIGNEUR. Mon but n'est pas de te convaincre ou de te dire quoi faire. Il est de te donner des éléments pour que tu fasses des choix en connaissance de la vérité. " Tout ce qui ne provient pas d'une conviction de foi est péché." (Romains 14:23).


Certaines personnes disent que DIEU interdit les transfusions sanguines. C'est complètement faux! Ce que DIEU interdit, c'est de consommer du sang comme un aliment. Donner son sang pour une personne malade, ce n'est pas la nourrir, mais poser un acte d'amour pour son prochain à l'image de ce qu'a fait JÉSUS. Les transfusions sanguines sauvent des vies.


Ceci dit, ce nest pas un acte à prendre à la légère. Pour le donneur, et encore plus pour le receveur. Tout sang n'est pas bon à recevoir. Le risque zéro n'existe pas. Le receveur peut s'exposer à des contaminations ou des effets secondaires physiques et spirituelles. C'est pourquoi, je dis oui sous conditions et avec précautions.


Conditions :

  • Après qu'une alternative à la transfusion sanguine ai été envisagée ou si possible essayée.

  • Que le donneur et le receveur agissent selon leur conviction personnelle et /ou celle reçue de DIEU.

Précautions :

  • Prier en invocant le sang de JÉSUS. Prier en langue. Prendre le repas du SEIGNEUR avec foi. Qu'importe si le donneur ou le receveur est un membre de sa famille ou un proche.

  • Si possible, savoir si on peut être donneur pour un membre de sa famille (époux, parent, enfant, frère, soeur).

  • Autant que possible, prévenir en prenant des compléments de fer. Exemple : si tu sais que tu seras opéré(e) dans quelques semaines, ajoute des compléments de fer à ton alimentention en respectant la notice.


** Labas rytas = Bonjour en lituanien


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